La Cascade, 1961, huile sur toile
Une belle exposition pleine de mystères et d’illusions est à découvrir depuis le 19 mai au MoMa de San Francisco.
Les Promenades d’Euclide, 1955, huile sur toile
L’exposition se penche sur les œuvres d’après‑guerre de René Magritte, peintre Surréasliste mondialement connu.
Elseneur, 1944, huile sur toile
Le monde des images, 1950, huile sur toile
La scénographie thématique proposée par le musée nous présente les symboles récurrents que Magritte aimait à représenter, comme l’homme au chapeau melon, la colombe, le clair‑obscur des paysages urbains, la pomme ou les mises en abîme de paysages. Jouant avec les perspectives et la façon de représenter des objets simples du quotidien, il joue avec l’illusion et laisse le spectateur se questionner devant ses toiles.
L’Heureux donateur, 1966, huile sur toile
La fin du monde, 1963, huile sur toile
Éloge de la dialectique, 1936, gouache sur papier
Son œuvre est teintée d’étrangeté et d’onirisme, quelle est la réalité que le spectateur regarde à travers les toiles de l’artiste ? Est‑ce que tout n’est qu’illusion ? Dans quelle temporalité nous trouvons‑nous ? C’est ce que le visiteur est invité à définir par lui‑même sans recevoir forcément de clés de la part du peintre qui expliquait : “Quand quelqu’un regarde une de mes peintures, il se pose cette simple question, qu’est-ce que cela signifie ? Cele ne veut rien dire, car le mystère ne signifie rien, il est impossible à connaître.”
Le Domaine enchanté, 1953, huile sur toile, faisant parti d’une série
La série Domaine enchanté
Chaque salle nous plonge davantage dans l’univers poétique de l’artiste.
Le Domaine d’Arnheim, 1962, huile sur toile
Le Retour, 1940, huile sur toile
La grande famille, 1963, huile sur toile
Il est facile de se laisser transporter dans la contemplation de ses œuvres et de chercher, si on le souhaite, une réponse à cette réalité transformée.
L’empire des reflets, 1954, huile sur toile
Et vous, êtes‑vous amateur du Surréalisme et de l’onirisme de René Magritte ?
Love, Robert Indiana, 1966, aluminium polychrome. À découvrir au niveau du restaurant du musée ♥
With love,
Tiphaine, A Frenchy in Cali
J’aime tellement le surréalisme, c’est tellement barré et poétique en même temps
Biz Jeny
Oui j’étais ravie de pouvoir visiter cette expo riche en symboles.
Ahhh super, quelle magnifique expo! J’aime beaucoup Magritte, j’avais adoré le musée Magritte à Bruxelles. Bises!
J’adore aussi Magritte et j’avais visité le musée à Bruxelles il y a bien longtemps. J’étais contente de pouvoir admirer une nouvelle fois ses œuvres à travers cette expo :-). Bises